Wenn du Le Balap in La Teste nicht kennst, kennst du gar nichts... An seiner Spitze? Zézette, die nicht lispelt, Papa mit dem passenden Namen und der Sohn Tony. Diese kleine Familie zieht alle Partygänger der Gegend an, aber nicht irgendwelche, sondern diejenigen, die ihre "Zique" lieben, d. h. die Rhythmen der 80er Jahre, und die die freundliche Atmosphäre in einem von Thailand inspirierten Dekor mit Holzterrasse lieben. Wenn Sie das Le Balap einmal getestet haben, werden Sie sicher wiederkommen, denn die Abende sind unvergesslich. Manchmal trifft man hier auch einige VIPs, die ihren Urlaub am Becken verbringen.
Wussten Sie schon? Diese Stellungnahme wurde von unseren professionellen Autoren verfasst.
Meinungen der Mitglieder zu LE BALAP
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Videur arrogant et désagréable au possible. Nous étions 5, calmes, respectueux, simplement venus passer une soirée tranquille entre amis. Mais non : refus catégorique à l’entrée parce qu’un de nous portait un short. Sérieusement ? En plein été ?
Aucune discussion possible, zéro bon sens, zéro flexibilité, zéro accueil.
C’est pathétique, et surtout, complètement ridicule pour un établissement censé accueillir du public.
À fuir. On ne remettra plus jamais les pieds ici, et on fera passer le mot.
Après avoir prit 3 bouteilles à ce tarif, il nous manquait une canette de red bull pour finir la bouteille, on demande gentiment.. prix: 6 euros.
Du vol.
Ce sont les meme prix que sur Paris comme nous a dit le serveur.
Ps: pas de tour eiffel en vue.

Le serveur ? Une légende. Littéralement : personne ne l’a vu bosser. Je pense qu’il a été programmé pour ignorer les clients. Ou alors il est mort debout et personne ne s’en est rendu compte.
Les cocktails ? On dirait des expériences ratées de labo. J’ai goûté un mojito tellement fade que j’ai cru que mes papilles avaient fait un AVC.
L’ambiance ? Imagine une salle d’attente chez le dentiste… un jour de canicule… sans clim… avec Michel Sardou en boucle.
Et ne me lance même pas sur les toilettes. Je suis sorti de là avec le sentiment d’avoir survécu à une guerre bactériologique.