ARHOME, MUSÉE DE L'INNOVATION INDUSTRIELLE
ARhome-Museum für Fixierung und Innovation mit spielerischem und interaktivem Rundgang für einen überraschenden Besuch in Grenoble.
Die Erinnerung an die 150-jährige Geschichte eines menschlichen und industriellen Abenteuers, das vom Erfinder des Druckknopfes Albert Raymond angeführt wurde. Das ARhome-Museum, das erste private Museum für Fixierung und industrielle Innovation, bietet einen spielerischen und interaktiven Parcours, der ebenfalls zu den innovativsten gehört. Alle Sinne werden angesprochen, um alle Aspekte einer Industrie zu entdecken, die mit der Handschuhfabrik in Grenoble (einzigartige Sammlung) und später mit dem Aufschwung des Automobils verbunden war. Ein "fesselnder" Besuch.
Wussten Sie schon? Diese Stellungnahme wurde von unseren professionellen Autoren verfasst.
Die Stärken dieser Einrichtung :
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Meinungen der Mitglieder zu ARHOME, MUSÉE DE L'INNOVATION INDUSTRIELLE
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Je suis content que votre musée soit transféré bientôt dans la maison, où j'ai travaillé comme brancardier du temps ou c'était encore la clinique du Vercors en 1978.
Saviez-vous qu'il y a les plans de cette maison aux Archives Départementales de l'Isère, et qu'elle fût construite par Jules Riondet puis après sa mort en 1887 par Demartini et Coutavoz. sous la cote 194 J 109 (M. Raymond, hôtel particulier : plans. 1882-1892)
194 J 179 M. Albert Raymond, fabricant de boutons : projet de construction d’un hôtel particulier (plans). 1889-1894
194 J 180 Id. (photos). 1900-1902
Bien cordialement !

Je viens d'apprendre que c'est un musée et je vais y aller.
Je me souviens de la sortie des ouvriers et ouvrières qui travaillaient chez Raymond Boutons comme on l'appelait encore. J'étais enfant et je voyais tout ce monde sortir, qui à pied ou à vélo, dès que le portail s'ouvrait. La sonnerie d'arrêt du travail avait sonné peu avant. Chacun rentrait de sa journée.
Du 3 me où plus petite encore j'habitais, on voyait l'immense cheminée. Cette cheminée était visible de la rue Marx Dormoy, une rue parallèle au cours Berriat, presque en face de la rue Mozart
Un immense mur entourait l'usine.
La clinique avait une merveilleuse réputation.
Je me souviens du magnifique marronnier rose coupé en pleine floraison dont l'ombre ne servait plus à rien, en tout cas plus au jardin d'été de la famille. D'immenses bouteilles d'air liquide ont pris place.
Je me souviens des logements mis à la disposition du personnel de l'entreprise. C'était coutume à l'époque et ça rendait service dans les deux sens! Côté ouvrier et surtout sans doute côté patron.
Mon père travaillait pour l'usine derrière, et donc là aussi, il y avait mis à disposition d'appartement ouvriers et dans notre immeuble cades aussi.
Le quartier grouillait de vie, de travail, d'enfants qui jouaient dans les cours, dans la rue parfois !
Époque de labeur, mais belle et exemplaire époque.