CHEZ MARGOT
Adresse mit Terrasse in Paris, die eine Bistroküche, einen hausgemachten Cheeseburger und ein Mittagsangebot serviert.
Gegenüber der Republikanischen Garde wurde Margot zu einem Feinschmeckerspot. Schon bald kamen die Fleischfresser, um ihre rot-weiß karierte Serviette zu binden und das Entrecôte mit Schalotten, das Filet mit Pfeffersauce oder das Rindersteak für zwei Personen in Angriff zu nehmen. Für die anderen gibt es bei jedem Wetter Bistroküche mit Hering mit Äpfeln in Öl, Pilzpfanne mit pochiertem Ei, mit Thymian konfierte Lammmaus, hausgemachte Cheeseburger, Zimtschnecken und Crêpes Suzette. Bei schönem Wetter, vor riesigen Schokoladenprofiteroles, trinkt man seinen Kaffee auf der Terrasse und hofft, die Pferde der Republikanischen Garde herauskommen zu sehen. Mittags wird täglich ein Menü angeboten, während abends die Karte mit viel (gutem) Fleisch (Salers, Charolais, Black Angus) umfangreicher ist.
Pour les moins pressés, je vais donc commencer cette critique, que je devrais en toute bonne foi qualifier d’éloge, par le dessert.
Les amateurs de profiteroles doivent absolument essayer la profiterole géante. Moi qui suis une grand fan de ce dessert qui réunit plusieurs de mes pèchers mignons, à savoir une pâte à chou (base de la chouquette qui est ma viennoiserie préférée, loin devant les ????, pains au chocolat et autres viennoiseries), de la???? à la vanille et un nappage au????. La sainte trinité en somme. Autant vous dire que pour moi on ne rigole pas avec les profiteroles. Et ma ???? a été bien servie .
J’ai pris une entrée à base ???? dont j’ai oublié le nom (tartare, peut-être ?), j’ai été plus qu’agréablement ????, mon intérêt pour le repas venait de s’éveiller et ce n’était que le début.
En plat principal, j’ai pris le fish and chips. Il était croustillant à souhait, le ???? cuit juste comme il faut pour ne pas être sec, et servi avec de bonnes ???? maison et un petit pot de sauce. Le seul regret que je pourrais avoir c’est que la portion ne soit pas plus grande, mais finalement ce fut un mal pour un bien d’avoir laissé un peu de place pour le dessert.
Et reparlons-en du dessert ! Si j’avais su ce qu’il me réservait, je me serai gardé plus de place qu’il m’en restait alors, c’est à dire presque aucune, pour mieux m’en régaler. J’en viendrais même à regretter d’avoir pris une entrée, et j’aurais pu triompher haut la main du défi qui m’avait été lancé. Mais repu comme j’étais, bien au delà de tout ce que mon estomac était capable d’ingurgiter, j’ai dû me résoudre la mort dans l’âme, à laisser dans mon assiette tant de ce nappage au ???? si goûteux. Une vraie sauce faite maison, savoureuse, tellement loin de cet insipide sirop au ???? industriel, bourré de sucre, qu’on nous sert trop souvent.
Mention très bien également à la serveuse , aux petits soins pour nous et pleine d’humour. Lorsqu’en fin de repas j’ai décidé de jeter mon dévolu sur la profiterole, c’est elle qui m’a, avec beaucoup d’humour, lancé le défi de réussir à la finir. Je l’en remercie de tout cœur et lui dédit cette critique. Ces remerciements seraient bien évidemment incomplets si je n’y incluais pas le ????????, figure de l’ombre caché devant ses fourneaux, à qui je dois ce bonheur gustatif.
La ???? était tombée sur Paris, les rues étaient plutôt désertes tout comme la terrasse qui nous a ouvert les bras, accueillante et baignée d’une douce chaleur. Nous l’avons quittée les ???? tournés vers le ciel bleu et le sourire aux lèvres.